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    Accueil > Protection des cultures > Pulvérisation- fertilisation

    Pièce pulvérisateur

    Promodis vous propose une gamme complète de pièces pour la protection de vos cultures, de l’équipement pour la pulvérisation et la fertilisation : buses, rampes, antigel, manomètre... Équipe du matériel adapté, vous pourrez épandre la dose réglementaire de produits phytosanitaires ou d’engrais liquide sous forme de fines gouttelettes, en ciblant la zone à traiter.

    Qu'est-ce que la pulvérisation ?

    La pulvérisation agricole est une technique qui permet de diffuser des produits en particules très fines pour l’épandre sur les cultures. L’objectif est de traiter les cultures contre les insectes, les maladies et les mauvaises herbes afin d’augmenter leurs rendements et de limiter les pertes. Ce traitement nécessite des produits phytosanitaires, leurs applications se font sous forme liquide. Il est aussi possible d’appliquer des engrais liquides pour favoriser la croissance des végétaux. Dans la pratique, il faut incorporer et diluer les produits phytosanitaires, ou l’engrais liquide avec de l’eau, ce mélange est appelé bouillie. Ensuite, le produit est transporté dans les tuyaux jusqu’aux porte-buses du pulvérisateur, enfin le produit est pulvérisé sur l’ensemble de la culture.

    Qu'est-ce qu'un pulvérisateur ?

    C’est un appareil qui est soit traîné (remorqué), porté, automotrice, aéroporté ou intégré à une autre machine comme un semoir, un déchaumeur, une auto-chargeuse…

    Le pulvérisateur sert à épandre des produits phytosanitaires ou de l’engrais liquide sur la culture de manière ciblée.

    Quels sont les éléments d'un pulvérisateur ?

    Ce sont les composants que vous pouvez retrouver sur tout type de pulvérisateur moderne en agriculture :

    Les cuves :

    • La cuve principale, c’est l’endroit où vous retrouverez la bouillie.
    • Le bac d’incorporation qui a pour but de préparer le mélange
    • La cuve de rinçage, sa capacité correspond à 10% du volume de la cuve principale
    • Un bidon lave mains qui fait généralement 15 à 20 litres

    La pompe de pulvérisation : ce composant sert à assurer un débit régulier aux rampes, à remplir la cuve principale et le brassage de la bouillie dans cette dernière.

    Il existe différents types de pompes :

    • La pompe à pistons
    • La pompe à membranes
    • La pompe centrifuge
    • La pompe à rouleaux

    Le système de régulation, il permet d’appliquer aux cultures la bonne dose de produits phytosanitaires. De plus, sur tous les pulvérisateurs vous trouverez un manomètre qui indique la pression exercée.  

    La rampe de pulvérisation, c’est l’élément qui porte les buses pour permettre une pulvérisation uniforme à intervalles réguliers. La hauteur de la rampe est réglée en fonction du type de buse, de l’angle de la pulvérisation, de l’écart entre chaque buse et de la hauteur de la culture à traiter.

    La buse, c’est l’élément qui permet la diffusion de la bouille sur la culture. Elles comportent un code couleur pour différencier chaque buse. Il existe différents types de buse, la buse à fente classique, à turbulence, à miroir et à filet.  

    Comment hiverner son pulvérisateur ?

    L’hivernage est une étape essentielle afin de garder sa machine et son matériel pour prévenir les potentiels risques et de dégradation. Pour un hivernage optimal il faut :

    • Vidanger complètement la cuve et les rampes
    • Nettoyage complet de l’appareil (intérieur et extérieur)
    • Nettoyage des filtres
    • Mettre de l’antigel dans le pulvérisateur (pompe, cuves, rampe)
    • Faire des retouches de peinture si nécessaire
    • Graisser l’appareil
    • Détendre les courroies
    • Décomprimer les ressorts de suspension de rampe
    • Dégonfler l’amortisseur de la rampe
    • Monter le pulvérisateur sur des cales pour ne pas déformer les pneumatiques (pulvérisateur traîné)
    • Stockage de l’appareil dans un endroit sans humidité et à l’abri de la lumière et de la lune

    Comment remettre en route son pulvérisateur au printemps ?

    Plusieurs étapes à respecter pour remettre en route votre appareil. Cela permet d’avoir un pulvérisateur en bon état et d’effectuer une pulvérisation de qualité.

    • Vidange de l’antigel
    • Remplir la cuve en eau claire et mettre en route pour humecter les joints et vérifier qu’il n’y a pas de fuites
    • Regonfler l’amortisseur de la pompe (1/3 de la pression de travail)
    • Vérifier la pression de gonflage des pneumatiques
    • Contrôler l’étanchéité de l’appareil
    • Vérifier le niveau d’huile dans la pompe
    • Vérifier l’état des canalisations
    • Vérifier l’état des filtres
    • Vérifier le bon état de fonctionnement du manomètre de pression
    • Vérifier le bon fonctionnement du capteur de vitesse (pulvérisateur à assistance électronique)
    • Contrôler le débit des buses
    • Contrôler la répartition des buses

    Que faut-il vérifier sur son pulvérisateur en cours de travail ?

    Durant votre activité, plusieurs points sont à contrôler :

    • Vérifier le bon fonctionnement des buses
    • Contrôler la hauteur de la rampe
    • Contrôler le manomètre de pression
    • Vérifier le compte-tour du tracteur
    • Éviter les recroisements durant la pulvérisation

    Comment entretenir son pulvérisateur après chaque changement de produits ?

    Lorsque vous changez de produit dans votre pulvérisateur, plusieurs étapes sont à respecter :

    • Vidanger l’appareil correctement
    • Rincer l’appareil en le remplissant à 20% de sa capacité et aller pulvériser-le tout dans la parcelle
    • Nettoyer les filtres
    • Nettoyage extérieur
    • Changement de buse si nécessaire (buse à fente différente pour les fongicides par exemple)
    • Régler l’appareil (débit et pression de travail)

    Comment choisir son pulvérisateur ?

    Votre choix se fera en fonction des éléments qui composent l’appareil :

    • La cuve principale, avoir un revêtement intérieur lisse (pas de possibilité de dépôt sur les parois ou dans les recoins). Un volume résiduel le plus faible possible (moins de 3% du volume total conseillé). Facilité de récupération du volume mort. Accès au trou d’homme aisé s’il n’y a pas d’incorporateur.
    • La cuve de rinçage doit contenir 10% du volume nominal ou 10 fois le volume résiduel, facilité de remplissage
    • La cuve lave-mains, doit avoir une capacité minimale de 15 litres.
    • Porte buses, limiter le nombre de buses différentes au strict nécessaire, mieux vaut en avoir moins mais les changer plus souvent
    • Buses, bien choisir le calibre en fonction du volume par hectare, de la vitesse d’avancement et du type de buse. Une buse ne garde ses propriétés (angle du jet, taille des gouttes) que dans une certaine plage de pression
    • Pompe, soit volumétrique (pistons, membranes, rouleaux), attention au débit maxi lorsque l’on souhaite remplir sa cuve avec la pompe de l’appareil. Ou une pompe centrifuge, attention à la pression maxi d’utilisation si l’on utilise des buses antidérive comme celles à induction d’air (de 4 à 6 bars)
    • Pneumatiques, ne pas choisir des pneus de largeur inférieure à celle des pneus du tracteur (moins bonne stabilité et plus de compaction des sols).
    • Circulation classique, ou semi-continue si vous avez un faible volume d’hectare ou continue si vous avez un grand volume d’hectare.
    • Rampe, vérifier la hauteur minimum et maximum possible de la rampe au travail. Attention à la hauteur maximum de la rampe en position de transport. Veillez à la stabilité de la rampe dans le plan vertical et surtout dans le plan horizontal (avant-arrière). Correcteur de dévers et géométrie variable conseillés en fonction du relief des parcelles et la largeur de rampe (utile dans la majorité des cas). Repliage des extrémités de la rampe indépendant (possible de traiter en 12 m au lieu de 24 m dans certains cas).

    Régulation :

    • PC, aucune régulation
    • DPM, ne prend pas en compte le patinage du tracteur et elle est souvent suffisante en terrain plat
    • DPA, permet de régler directement le volume hectare depuis le poste de conduite. Attention aux DPA qui calculent la vitesse d’avancement par rapport à une roue motrice du tracteur
    • Vannes, veillez au regroupement des vannes et à la facilité de passage d’un mode de travail à un autre.

     

    • Suspension, possibilité d’avoir une suspension sur l’essieu et sur la flèche, c’est intéressant sur route et dans les champs chaotiques pour le vieillissement de la rampe, mais peu d’influence sur sa stabilité
    • Divers, dessous de l’appareil lisse, facilité d’utilisation du boîtier électronique, jauge précise et visible du poste de conduite et du point de remplissage

    Ensuite, il est important de prendre en compte plusieurs éléments dans le choix de votre pulvérisateur :

    Le parcellaire détermine les caractéristiques dimensionnelles. Il faut pouvoir faire au moins un aller-retour dans la parcelle la plus longue avec le volume contenu dans la cuve. La forme de la parcelle conditionne le nombre de coupures de rampe et leur longueur. La surface à traiter en période de pointe et le nombre de jours disponible dicte le choix de la taille de l’appareil. La largeur de travail des autres outils de l’exploitation détermine le choix d’une largeur de rampe, multiple de celle des autres outils. La hauteur de végétation impose les possibilités de réglage de hauteur de la rampe. Le dégagement sous châssis doit aussi être pris en compte afin de limiter les dégâts.

    La disponibilité d’un tracteur, la fréquence d’attelage et la puissance de relevage sont des éléments décisifs dans le choix entre pulvérisateur traîné et porté. Une faible « portance » du sol impose d’avoir recours à des appareils légers. Un tracteur équipé d’une cuve avant et d’un pulvérisateur porté à l’arrière passe plus facilement dans les parcelles mal ressuyées qu’un pulvérisateur traîné, tout en conservant une bonne autonomie. Un relief accidenté nécessite le recours à un système de stabilisation de rampe performant. Dans les régions régulièrement ventées, il est conseillé d’utiliser des buses à dérive limitée ou des systèmes d’assistance d’air. La présence d’un salarié permet, à débit de chantier équivalent, de tirer parti d’équipement de faible capacité et donc moins coûteux.

    Les pannes les plus fréquentes sur un pulvérisateur :

    Les pannes les plus fréquentes sur un pulvérisateur

    Quelle marque de pulvérisateur choisir ?

    Marque de pulvérisateur trainé :

    • Amazone
    • Berthoud
    • Evrard
    • Horsch
    • Kuhn
    • Tecnoma

    Marque de pulvérisateur porté :

    • Amazone
    • Berthoud
    • Evrard
    • Kuhn
    • Tecnoma

    Marque de pulvérisateur automoteur :

    • Amazone
    • Berthoud
    • Evrard
    • Horsch
    • Tecnoma

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